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Nous avons été avertis par plusieurs enseignants interpellés et inquiets, qu'un mail en provenance de Mme Pascal Caroline, Directrice générale de l’enseignement scolaire, leur a été envoyé concernant le déploiement de l'EVAR/S dès septembre 2025. Nous souhaitions partager au plus grand nombre la retranscription du passage qui nous intéresse :

Il est évident que tout repose sur les chefs d’établissements et principalement sur les intervenants qui seront individuellement responsables de ce qu’ils appliqueront, il est affirmé en réponse à la question n°22 un « soutien de l’institution scolaire aux personnels en cas de contestation de l’EVAR/S »

FINALEMENT . . .

Nos collectifs seront aux cotés de chaque parent qui s’opposera à cette éducation et feront tout leur possible pour aider et accompagner les parents qui le souhaiteront.
Appel aux exécutants :
En sus, l’article 40 du Code de procédure pénale, oblige « Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs. »
➡️ Votre issue : Parce que nous pensons que vous avez à cœur de faire au mieux pour nos enfants, à défaut votre propre protection, et parce que le Devoir de Réserve n’existe dans aucune loi, nous vous rappelons que la loi prévoit en revanche aux fonctionnaires (article L. 12110 du Code général de la Fonction publique) et à quiconque (article 122-4 du Code Pénal), une OBLIGATION de désobéir aux ordres émanant de la hiérarchie lorsque ces derniers sont manifestement illégaux et de nature à compromettre gravement un intérêt public, sous peine d’engager leur responsabilité pénale et les sanctions qui vont avec.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000044416551/LEGISCTA000044420673/
Nous ne devons pas oublier que l’autorité parentale à laquelle personne n’a le droit de se substituer (hors cas spécifique et jugé) nous permet de plein droit de nous opposer à ce que notre enfant mineur soit contraint et forcé d’assister à ce type de séances/cours/lectures/spectacles….
Aussi, notons que le Code de l’Éducation est en bas de la pyramide des normes juridiques et inférieur aux blocs réglementaire et Constitutionnel (Code Pénal, Code Civil, CIDE, CEDH qui ne sont pas abrogés hein), les lois nous protègent donc, il ne nous reste qu’à les faire appliquer.
Pour ce faire, nous proposons aux parents de s’opposer à la participation de leur enfant à ces séances/cours/spectacles etc. et de demander à ce qu’il soit intégré dans une autre classe évidemment afin que son droit à l’instruction soit respecté et que, nous parents, respections l’assiduité scolaire.
Vous pouvez aller découvrir ce courrier ainsi que l’avis d’engagement qui l’accompagne. Ce dernier (en lien ci- dessous) propose, en cas de refus du chef d’établissement de prendre en considération votre non-consentement, qu’il s’engage à prendre toute la responsabilité de ce qui pourrait advenir pendant et après le déroulement de l’une de ces séances.
Nous devons nous battre pour faire abolir ce programme qui viole tout le corpus juridique.
Nous nous appuyons sur les nombreux témoignages d’enfants et adolescents qui ne font qu’exploser à travers toute la France (et au-delà), mais également sur ceux des professionnels de la santé mentale et psychique de l’enfant qui, eux-mêmes n’ont de cesse d’alerter, ou encore ceux du personnel d’établissements scolaires suite à des interventions auxquelles ils ont assisté, ou à l’inverse justement, qui témoignent ne pas avoir pu y assister !!
Le dernier point c’est simplement le bon sens, en regardant ce qui est en train de se passer depuis plusieurs années : l’intrusion systémique (et systématique) de la Sphère publique dans la Sphère privée, point qui n’est pas suffisamment souligné par la plupart des personnes qui dénoncent ce programme.
C’est pourquoi nous avons fait aussi ce travail concernant le Droit, qui peut sembler compliqué mais qui permet, au-delà de l’aspect émotionnel, de bien comprendre en quoi c’est une véritable aberration juridique ! Et c’est finalement accessible à tous : Les sources du Droit sont organisées selon le principe de la hiérarchie des normes juridiques, découvrez notre pyramide en lien ci-dessous.
Pour les parents qui seraient encore en questionnement sur cette dite « éducation » ou qui ne connaitraient pas celle-ci, nous vous proposons de découvrir le travail de l’Association ONEST, présidée par Me Virginie AR et, entourée d’un collège d’experts, de psychologues, de médecins et de juristes bénévoles :
Découvrir ONEST

 

À travers toute la France, qu’il s’agisse d’établissement public ou privé, un dialogue difficile voire inexistant, révélant que les portes se ferment aux parents lorsque l’EVARS est prononcée.

Parents, grand-parents, enseignants, citoyens, c’est notre devoir à TOUS !

Protégeons les mineurs face à cette corruption.

Réagissez MAINTENANT !

Refusez l’EVAR/S et tout ce qui gravite autour (courrier disponible plus bas)
MOBILISONS NOUS le 10 mai, le 10 juin, le 10 juillet…

➡️ ORGANISEZ-VOUS PARTOUT en France & Signalez vos événements sur les canaux Parents En Colère : https://www.parentsencolere.fr/canaux-telegram/

Rejoignez les Parents En Colère, des collectifs à travers toute la France !

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