Selon le gouvernement, les parents devraient obtempérer en silence et en toute ignorance, sous prétexte que 3 associations militantes s’appuyant sur des statistiques ont attaqué l’État au 1er Mars 2023 pour non respect de la tenue des séances d’Éducation à la Vie Affective, Relationnelle et Sexuelle allouées par la loi française de 2001 du Code de l’Éducation (Loi N°2001-588 du 4 juillet 2001- Art. L. 312-16). Il est intéressant de remarquer que pourtant ce sujet était devenu officiellement grande priorité nationale pour le ministre en charge de l’Éducation Nationale depuis la rentrée précédente.
Des séances, sous divers noms/appellation, sont donc aujourd’hui dispensées dans les établissements scolaires [sans savoir vraiment depuis quand] alors qu’aucun programme n’a été établi, basées sur de « simples » objectifs de cycle et d’éventuels supports pédagogiques au contenu « libéré » déconcertant. En mars 2024, un projet de programme voit le jour après une saisine participative en ligne à l’ automne 2023 à la faveur des enfants à partir de 6 ans et des professionnels.
L’avis des parents n’est semble-t-il pas nécessaire ?!
Ces séances peuvent prendre différentes formes :
Études de documents, lectures, spectacles, lors du rendez-vous « dépistage » avec une infirmière etc …
Se cacher derrière des programmes dont aucun contenu n’est accessible aux parents, comme le document ci-joint le montre entre autres ( EMC, SVT… ) :
🤔 Comment des sujets aussi personnels et intimes que la vie affective et la sexualité peuvent-ils être abordés dans le cadre de la scolarité sous forme de programme à titre éducatif ?
🤔 Pourquoi l’autorité parentale est-elle mise sur la touche ?
🤔 Pourquoi cette volonté de co-éduquer nos enfants au consentement sans même faire valoir le nôtre, ni celui de nos jeunes enfants et ados, qui ne sont pas encore en capacité de consentir ou non ?
NON NON et NON !
👇 POURQUOI ?
📍 Parce que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), organisme financé petit à petit par 80 % de fonds privés, tente de s’imposer devant les États nations du monde, qui, unis dans cette perspective, valident le fait qu’un « enfant est sexualisé dès la naissance » (p. 36 / Standards de l’éducation à la sexualité pour l’Europe – 2013). En d’autres termes, un programme mondial afin de SEXUALISER les ENFANTS, et ce, dès le plus jeune âge.
Ce ne sont que de « simples » recommandations, non contraignantes, c’est à dire sans valeur juridique, qui sont soumis aux Codes Civil et Pénal, aux Blocs Conventionnel et Constitutionnel.
📍 Parce que l’Organisation des Nations Unies (ONU), dans une édition revisitée en 2018 (originale 2009), n’a aucun scrupule à annoncer que l’Éducation COMPLÈTE à la Sexualité « vise à doter les enfants et les jeunes, de connaissances […] qui leur donneront les moyens de s’épanouir […], de développer des relations sociales et SEXUELLES RESPECTUEUSES ». (Principes directeurs internationaux sur l’éducation à la sexualité des Nations Unies, p. 16)
📍 Parce que l’ONU aurait étudié le comportement sexuel pour les 5-8 ans, annonçant que les « élèves pourront expliquer que l’on peut manifester son amour et son affection […] en embrassant, étreignant, touchant et parfois en ayant des COMPORTEMENTS SEXUELS ». (p. 83)
🤔 N’avez-vous pas remarqué autour de vous que de en plus d’enfants se posent des questions qui étaient exceptionnelles auparavant ?
Par ex : « Suis-je une fille ou un garçon ? » 🤔
👉 Les intervenants de ces séances font également la promotion de la théorie du genre via des associations militantes, tel que le planning familial, dénoncé récemment par une centaine d’intellectuels et de médecins, comme un refuge de militants transactivistes, se parant de l’idéologie woke, un dogme antiscientifique, quasi-sectaire, pour « éduquer » les enfants de la maternelle au lycée. (Tribune parue dans le journal « le Point », le 16 avril 2023)
🤔 Les adultes bien-pensants désirent apprendre les mots d’adultes aux enfants pour parler de sexe, leur apprendre à parler « convenablement » de sexualité…
👉 Comment ferons-nous alors pour repérer les enfants victimes d’agressions ou d’effractions sexuelles si les adultes encadrants leurs apprennent les mots pour parler de SEXE dès leur plus jeune âge ? 🧐 Nous n’y verrons plus que du feu.
👉 Aussi, s’il n’y a plus de tabou (sain), il n’y a plus de transgression…
👉 Que diriez-vous si votre employeur vous imposait des séances collectives parlant de sexualité et de votre intimité avec vos collègues de travail ?
Sous couvert de lutte contre le harcèlement en entreprise par exemple…
🤔 Qu’attendons-nous donc pour imposer notre autorité parentale afin de protéger nos enfants de ce projet insidieusement malsain déguisé de bonnes intentions ?
🚨 🚨🚨 Le réseau national des collectifs apartisans des PEC (Parents en Colère) vous invite sérieusement à vous intéresser au contenu de ces « standards », mais vraiment. Ne vous contentez pas de lire quelques articles qui démentent les dires des enfants, l’inquiétude des parents, ne parlent que d’intégristes, d’extrême droite, de complotistes et maintenant d’homophobes ou même de transphobes. Un peu de discernement s’impose, cessons de tomber dans le piège de la propagande médiatique de ces mêmes organisations !
👉 Chaque parent et citoyen doit s’informer et se positionner avec détermination.
👉 Chaque association et professionnel doit se positionner également en faisant valoir leur connaissance spécifique de la santé et du développement infantile.
👉 Tout enseignant et responsable d’établissement, comme certains le font déjà et l’ont toujours fait, peuvent et doivent ne pas obéir aux directives sur l’Éducation à la Vie Affective, Relationnelle et Sexuelle. Ces séances étaient jusqu’ici quasiment non appliquées sur le territoire, probablement naturellement considérées comme non-adaptées, pourtant nous voici aujourd’hui devant une flambée importante de celles-ci. Au contraire, certains prennent désormais leur aise à utiliser des supports complètement inadaptés.
👉 Chaque individu doit comprendre l’ampleur et les enjeux de ce projet mondial et se positionner afin de l’abolir ENSEMBLE.
🚨🚨🚨 L’Éducation Nationale, les enseignants ou toute autre personne menant ou participant à ces séances n’ont pas à s’immiscer dans l’intimité des enfants, encore moins à leur divulguer (à les éduquer à) des pratiques « adultes », et de surcroît, de manière collective, à la chaîne, comme du bétail, tout en bafouant les valeurs autant morales que philosophiques et/ou religieuses des familles. Tout ceci est d’une violence psychologique inouïe.
😏 Où est le respect d’autrui que promulguent ces textes ?
😏 Qu’en est-il du développement psychique des enfants en leur parlant de masturbation, de changement de sexe, dès le plus jeune âge ? (entre-autres)
🤔 Est-ce protéger les enfants et tous les mineurs que de les initier au plaisir ? Que leur faire croire qu’ils ne se sentent pas bien dans leur corps parce qu’ils seraient nés dans le mauvais ?
📍 Ces séances ne sont pas du tout adaptées au monde de l’enfance, sont psychologiquement (basiquement) déstructurantes et sont ILLÉGALES. Cette ÉDUCATION COMPLÈTE à la Sexualité est intrusive et va à l’encontre :
👉 du Code Civil en terme d’autorité parentale (Art. 371-1) ;
👉 du Code Pénal notamment par la diffusion de contenus pornographiques et une atteinte à la moralité des mineurs ;
👉 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme : « On ne doit pas exalter la sexualité chez les enfants ; il ne faut pas atteindre leur équilibre physique et psychique ; l’État n’a absolument pas le droit d’endoctriner les enfants ». (La jurisprudence -1976)
👉 va à l’encontre du Droit à la Vie privée, la sexualité relevant de la Vie Privée et Familiale (ne fait pas partie du Droit de la Santé)
🚨🚨🚨 La loi actuelle, suivie de ses deux circulaires de 2018 et 2022, enfreignent les normes supérieures et sont une atteinte à la dignité humaine et au caractère inviolable et sacré du corps humain.
🚨🚨🚨 Ces organisations mondiales savent aussi comment obtenir le consentement des parents, en détournant leur regard par la confiance complète qu’ils accordent à l’école et ainsi, laissent place à la SEXUALISATION des enfants se faire sous leurs yeux, pensant que c’est pour les protéger des violences sexuelles et sexistes.
👉 En France : le site en ligne ON SEXPRIME , accessible librement dans tous les CDI de France, donc dès la 6è, donc dès 10 ans :
🛑 « Qui ne dit rien consent », c’est aussi simple que ça…
Alors, DITES NON !
Et si vous êtes enclin à laisser faire, nous sommes tous plus ou moins sujet à ne pas voir forcément le mal dans ces séances d’Éducation à la Vie Affective Relationnelle et Sexuelle, pour diverses raisons, croyances ou convictions ou tout simplement parce que l’on a confiance, aussi parce que l’emballage est tellement beau, on ne voit pas forcément la partie immergée de l’iceberg…
Ainsi, afin de toujours avoir comme référence deux questions initiales et sans compromis aucun, commencez à vous poser deux questions afin de pouvoir estimer si cela est bon pour votre enfant :
👉 Ces séances entrent-elles dans l’intimité de mon enfant ?
👉 Ces séances sont-elles de l’ordre de sa vie privée ?
Posez-vous ces deux questions avant de cautionner ou accepter ces séances pour votre enfant.
Partagez l’information autour de vous, retrouvez nos flyers « EVARS Dites NON » en cliquant sur le lien :
🚨 APPEL AUX DONS concernant les actions liées à L’ÉDUCATION À LA SEXUALITÉ.
Une cagnotte spécialement dédiée aux actions juridiques des collectifs et des parents requérants qui permettra d’aider concrètement :
– Les parents courageux qui nous contactent, à aller au bout de leurs démarches (plaintes, huissier, avocat, psy..)
– Les formalités des collectifs Parents En Colère et de l’Union Fait La Force 88 (mises en demeure, signalements au procureur et courriers A/R…).
Les gains et dépenses seront publiés régulièrement.
Vous souhaitez agir en nous soutenant par votre contribution ?
Cliquez sur lien !
👇Sources :
Loi 2001, Art. L. 312-16., version initiale :
Infographie Eduscol EAS :
https://digipad.app/p/308283/2f5035985e6cd
https://prebenit-isere.ent.auvergnerhonealpes.fr/parcours/parcours-citoyen/education-a-la-sexualite-3307348.htm
Standards de l’OMS :
https://www.sante-sexuelle.ch/assets/docs/Standards-OMS_fr.pdf
Principes directeurs internationaux sur l’éducation à la sexualité :
https://www.unfpa.org/sites/default/files/pub-pdf/266214fre.pdf
Site OnSEXprime, les différentes positions sexuelles expliquées aux enfants :
…. et même la sodomie :
